La récente affaire des ‘algues bleues’ a
débuté à la fin janvier 2012, lorsque nous avons appris « par
hasard » qu’il y avait eu un signalement d’algues sur le lac en novembre
2011, sans que l’Association en soit informée. Le Président (Robert LeSage) envoie alors un
courriel à l’inspecteur de Bouchette pour avoir des détails. Une semaine plus tard, n’ayant eu aucune
réponse, M. LeSage envoie un courriel au maire Réjean Major, toujours aucune
réponse. Il récidive avec un autre courriel
au maire au début mars, sans obtenir de réponse encore une fois.
Le 13 mars, le président reçoit
par courriel copie d’un communiqué émis
par la municipalité stipulant qu’un signalement de substance s’apparentant à
des cyanobactéries a été fait et qu’il fut confirmé qu’il s’agit de
cyanobactéries à potentiel toxique, mais la municipalité est toujours en
attente du résultat officiel du ministère du Développement durable, de
l’Environnement et des Parcs (MDDEP). Ce
communiqué fut distribué aux portes des riverains dans la municipalité de
Bouchette. M. LeSage adresse alors un courriel à la
municipalité demandant à nouveau un
résumé du dossier et tous les détails pertinents, car des propriétaires autour
du lac sont en état de panique. Mme
Lacroix (la Directrice générale de la municipalité) lui répond par courriel le 16 mars, mais sans donner toutes les
informations demandées. Le même jour,
le Président envoie donc une lettre aux membres du Conseil municipal de
Bouchette, par courriel et par la
poste, leur faisant part de son
mécontentement face au traitement de ce dossier, demandant des réponses claires
et précises à ses questions, et demandant une rencontre entre les membres du
Comité exécutif de l’Association et les membres du Conseil municipal. La rencontre a été fixée au 25 avril
dernier, pour discuter de ce dossier et de plusieurs autres sujets.
Finalement, le rapport du
ministère a été publié sur le site de la municipalité de Bouchette, et
stipule que les résultats d’analyse
révèlent la présence d’une fleur d’eau de cyanobactéries ne dégageant pas de
toxines. Lors de la rencontre avec le Conseil le 25 avril, les membres de l’Exécutif
demandent à la municipalité de distribuer aux portes des riverains un autre
communiqué pour faire une mise au point, car les villégiateurs commencent à
arriver à leurs chalets. La
municipalité ne voit pas la nécessité de répondre à cette requête, puis
finalement, il est décidé que ce sera discuté à l’interne. Nous sommes en attente.
La municipalité a toutefois pris
l’initiative d’organiser une rencontre regroupant des représentants des deux
municipalités, de ABV des 7, de Seauvegarde Vallée de la Gatineau, de la MRC
Vallée de la Gatineau, et de l’Association, rencontre qui s’est tenue le 27
avril 2012. Les deux représentants pour
l’Association étaient Robert LeSage, président,
et Jacques Lépine, trésorier.
Il fut décidé alors d’engager des experts biologistes pour réaliser une
étude afin de faire la caractérisation du lac, étude dont le coût est de
3 600 $. Il fut convenu que les deux
municipalités débourseront chacune 1 200 $, et l’Association fera de même.
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